Ces derniers temps, les tiny-houses sont de plus en plus devenus des habitations populaires et très appréciés. Ces demeures écologiques s’entrent dans une action responsable, et s’offrent pour un coût inférieur à la portée de tous une vie chaleureuse.
Qu’est-ce qu’une tiny-house ?
Comme son nom l’indique, une tiny house n’est qu’une minuscule habitation, une petite maison sur remorque. En effet, c’est une conception avec une qualité d’une résidence mobile et doit rester ainsi continuellement pour être considéré comme une tiny-house, contrairement à un abri de jardin, qui se solidifie au sol. De plus, elles ne sont pas difficiles à construire, moins chères, plus rapides et sans contraintes de posséder le terrain avec lequel on les place. Dans le territoire français, depuis 2020 elles sont faites comme une alternative aux appartements en métropoles.
Les avantages et les inconvénients d’une tiny-house
Le premier atout d’une tiny house est certainement à cause de son prix attractif, pas plus de 20 000 euros, châssis y compris. Cependant, c’est son impact environnemental qui ressort parmi ses mérites. Généralement, elle s’est dotée de panneaux photovoltaïques ou de procédé de chauffage écologique, ainsi le prix des factures devient résolument réduit. Elle est facile à entretenir, à approvisionner de l’eau et à rendre plus chaude à cause de sa petite surface. Néanmoins, toute bonne chose à son propre revers. De ce fait, le premier désavantage s’agit de son poids qui ne doit jamais excéder les 3,2 tonnes pour avoir le droit de jouir la classe d’une tiny-house. Et également pour une possibilité de rouler avec une remorque. L’autre inconvénient concerne de sa petite surface pas plus de 19 m². Conséquemment, une famille avec trois enfants par exemple ne peut pas s’y installer confortablement. D’ailleurs, conformément à une règle, une tiny-house se fait pour 4 personnes à la rigueur.
Devez-vous payer des taxes pour votre tiny-house ?
D’un point de vue entièrement relatif à l’administration, une tiny house est considérée comme de « résidence mobile terrestre ». Par conséquent, ce statut fiscal particulier veut dire, par nature, une absence de taxe foncière ou taxe d’habitation. À noter toutefois, si la résidence ou l’habitation mobile en question devient immobile, clouée au sol, elle sera, et sera mise dans l’obligation de payer la taxe foncière. En outre, selon l’utilisation et le changement éventuel que vous appliquerez à votre tiny-house, son statut fiscal risque de transformer si elle perd son rang de résidences mobile terrestre. Enfin, la légalisation pour une tiny-house stipule qu’elle est soumise à la même taxe annuelle que les camping-cars et les caravanes. De ce fait, une taxe annuelle au maximum de 150 euros s’impose pendant dix ans et devient 100 euros, par la suite, et aucun au-delà de quinze ans.